groupes linguistiques

Afin d’analyser le rapport entre le contexte linguistique et les compétences des élèves, les quatre groupes linguistiques les plus représentatifs ont été retenus au Luxembourg : (1) le luxembourgeois/l’allemand (l’allemand étant le contexte linguistique pour une infime partie des élèves), (2) le français, (3) le portugais et (4) les langues slaves du Sud, c.-à-d. le bosniaque, le croate, le serbe, le monténégrin, le macédonien. L’albanais a également été ajouté à ce groupe. Pour l’échantillon sélectionné, seuls les élèves parlant la même langue avec leurs deux parents et fréquentant depuis le préscolaire l’école au Luxembourg ont été pris en compte. Cette définition diffère de celle utilisée dans le cadre de PISA 2012 dans la mesure où les élèves avaient été classés en 2012 dans les différents groupes linguistiques selon la langue qu’ils parlaient le plus fréquemment à la maison. Les résultats de 2012 et de 2015 ne sont donc pas comparables.

INT

Écoles internationales et privées qui n’appliquent pas le programme officiel du ministère de l’Éducation (MENJE).

intérêt pour les sujets scientifiques

L’intérêt pour les sujets scientifiques analyse dans quelle mesure un élève s’intéresse aux sujets scientifiques dans les domaines de la biosphère, du mouvement et des forces, de l’énergie, de l’univers et des maladies. Pour l’analyse des résultats, les réponses « très intéressé(e) » et « intéressé(e) » ont été regroupées.

langue du test

Par langue du test, on entend la langue dans laquelle les élèves effectuent le test PISA. Normalement, il s’agit de la langue d’enseignement du pays. Toutefois, puisque deux langues d’enseignement coexistent dans les écoles appliquant le programme officiel luxembourgeois, les élèves de ces écoles ont pu choisir librement entre l’allemand et le français comme langue du test. Les élèves des sections anglophones (tant des écoles appliquant le programme officiel que des écoles internationales de langue anglaise) ont quant à eux passé le test en anglais.

mathématiques

PISA entend par compétence en mathématiques l’aptitude d’un individu à formuler, employer et interpréter des mathématiques dans un éventail de contextes, soit de se livrer à un raisonnement mathématique et d’utiliser des concepts, procédures, faits et outils mathématiques pour décrire, expliquer et prévoir des phénomènes.

motivation à réussir

La motivation à réussir analyse dans quelle mesure un élève veut réaliser les meilleures performances ou s’il s’estime être ambitieux. Exemple d’item : « Je veux être le/la meilleur(e) dans tout ce que je fais. » Pour l’analyse des résultats, les réponses « d’accord » et « tout à fait d’accord » ont été regroupées.

motivation instrumentale

La motivation instrumentale analyse dans quelle mesure les élèves estiment que l’apprentissage des matières scientifiques est utile. Exemple d’item : « Ce que j’apprends dans le(s) cours de sciences est important pour moi, car j’en ai besoin pour ce que je veux faire plus tard. » Pour l’analyse des résultats, les réponses « d’accord » et « tout à fait d’accord » ont été regroupées.

moyenne de l’OCDE

La moyenne de l’OCDE est calculée sur la base des scores moyens des 35 pays membres de l’OCDE. Tous ces scores ont, indépendamment de la taille du pays, le même poids dans cette moyenne. La moyenne de l’OCDE sert de valeur de référence pour comparer les performances moyennes des différents pays.

moyenne de l’OCDE (34)

La moyenne de l’OCDE (34) est calculée sur la base des scores moyens des 34 pays membres de l’OCDE pour lesquels des données sont disponibles en mathématiques et en sciences depuis PISA 2006. En compréhension de l’écrit les données pour les 34 pays membres de l’OCDE ne sont disponibles que depuis 2009. Dans ce rapport, la moyenne de l’OCDE (34) sert de référence pour l’analyse de l’évolution des scores moyens.